War Child-UK

War Child UK-RCA attend avec impatience un monde dans lequel la vie des enfants ne sera plus déchirée par la guerre.  Il s’agit d’une vision qui ne peut être réalisée que par les actions collectives, des enfants eux-mêmes et de leurs familles, des communautés et de leurs dirigeants, des organisations de protection de l’enfance, des gouvernements et des décideurs clés.

War Child UK-RCA donne un appui en renforcement des capacités organisationnelles et institutionnelles afin de permettre aux partenaires locaux d’atteindre leurs objectifs de façon efficace.

NOS VALEURS 

Nous Sommes :

• Audacieux : Nous utilisons notre passion et notre créativité pour fournir un travail de qualité basé sur des preuves et conçu pour maximiser notre impact bénéfique pour les enfants et les jeunes victimes des conflits armés.
• Transparents : Nous attendons de nos partisans et bénéficiaires qu’ils rendent des comptes et nous répondons avec ouverture et honnêteté.
• Redevables envers les Enfants : Les enfants peuvent compter sur nous pour répondre à leurs voix et les traiter avec respect et dignité.
• Engagés les uns envers les autres : Nous nous soutenons mutuellement et soutenons nos partenaires pour atteindre des objectifs ambitieux et pour être le meilleur possible. Nous sommes honnêtes et ouverts les uns avec les autres, partageant nos succès et affrontant nos défis.

NOS PARTENAIRES FINANCIERS :

En République Centrafricaine, nous travaillons avec le soutien financier de War Child Royaume-Uni , de l’UNICEF, du Fonds Humanitaire de la République Centrafricaine, du Gouvernement Britannique et du Bureau de Développement du Commonwealth (FCDO, anciennement DFID), de la Fondation Stanley Thomas Johnson, etc.

NOTRE VISION   STRATEGIQUE EN REPUBLIQUE CENTRAFRICAINE

Nous avons développé un Document Stratégique Pays (CSP) couvrant la période de 2021 à 2023 qui guide nos interventions et dans lequel nous avons détaillé nos axes et zones prioritaires d’intervention.

Ce document atteste notre prise de conscience du fait que les enfants affectés par les conflits, les violences et la pandémie du COVID-19 ont besoin d’une assistance promptement fournie afin de réduire considérablement les préjudices physiques et psychosociaux, si nous pouvons toucher les enfants dès les premiers jours ou même dans les premières heures qui suivent la survenue d’un conflit ou d’une crise.

Nous sommes également conscients que les enfants sont souvent laissés pour compte par le système d’aide après la phase aigüe des crises. Ce faisant ils deviennent confrontés (avec leurs communautés), aux défis de réhabilitation et de la transition vers un avenir incertain, tant que leurs besoins ne sont plus mis en relief dans les médias, ou exprimés sur la liste des priorités des donateurs d’urgence.

En plus de renforcer notre capacité à répondre promptement aux crises, notre vision stratégique en République centrafricaine nous met en défi d’articuler des programmes qui aident à construire des communautés réintégrées ayant les capacités pour protéger leurs enfants à long terme.

Nous continuerons à concentrer nos efforts pour atteindre des enfants les plus vulnérables et la fourniture de réponses holistiques aux enfants actuellement et anciennement associés aux forces et groupes armés, aux enfants qui ont subi des violences sexuelles et aux enfants qui ont été séparés de leurs familles, en portant un accent particulier sur trois objectifs programmatiques ci-dessous :

• S’assurer que les enfants et les jeunes (filles et garçons) affectés par les nouvelles crises et les violences reçoivent une assistance rapide.
• S’assurer que les enfants et les jeunes (filles et garçons) sont protégés contre les violences et renforcent leur bien-être psychosocial.
• S’assurer que les enfants et les jeunes (filles et garçons) affectés par la violence reçoivent un soutien en réintégration et sont acceptés par leurs familles et communautés respectives.

NOS ZONES PRIORITAIRES

Les préfectures de l’Ouham, Ouham-Pendé, de Bamingui-Bangoran et de la Vakaga (Birao) demeureront tout au long de ces trois années nos zones prioritaires avec des possibilités d’extension sur base de l’évolution du contexte humanitaire